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Par Christine
Date de publication : 22 mars 2018

Le gouvernement canadien doit associer ses déclarations publiques à des mesures concrètes sur des questions telles que les disparités entre la santé des peuples autochtones et non autochtones, la réforme du système de santé et la baisse des niveaux d'aide à l'étranger, s'il veut renouveler son héritage de leadership en matière de santé, selon à un nouveau numéro de La Lancette examiner le système canadien de couverture sanitaire universelle et son rôle dans la santé mondiale.

Les principaux auteurs des deux articles commandés sont Danielle Martin, professeur agrégé de médecine familiale et communautaire, et Stéphanie Nixon, professeur de physiothérapie, tous deux à l'Université de Toronto. Les co-auteurs comprennent des universitaires de premier plan de partout au Canada.

Martin et ses coauteurs soutiennent qu'une réforme est nécessaire pour que le système de santé universel du Canada s'engage à nouveau et respecte ses principes fondateurs d'équité, de solidarité et de co-intendance.

Bien que les soins médicaux et chirurgicaux urgents soient généralement opportuns et de haute qualité, disent-ils, les temps d'attente pour les soins électifs ont été un paratonnerre. Un Canadien sur trois doit attendre plus de deux mois pour être référé à un spécialiste, ce qui est beaucoup plus élevé que dans de nombreux pays de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). Le Canada fait également face à une population vieillissante, à un multiculturalisme et à une urbanisation croissants et à une étendue géographique qui rend la prestation des soins de santé aux collectivités rurales et éloignées particulièrement difficile.

Cliquez Ici pour lire l'article complet sur le site Web de l'Université de Toronto


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